Toutes les formes de violence englobent un aspect psychologique, dans la mesure où leur principal objectif est de blesser l’intégrité ou la dignité de l’autre.


Par ailleurs, il existe certaines formes de violence qui recourent à des méthodes inclassables dans d’autres catégories, qui sont ce que l’on appelle des violences psychologiques « pures », comme l’isolement ou l’internement, la rétention d’informations, la désinformation ou encore les menaces.

Dans la sphère privée, la violence psychologique englobe les comportements menaçants sans éléments de violence physique ou verbale, par exemple, les actes se référant à des actes de violence antérieurs, ou l’ignorance et la négligence intentionnelles d’une autre personne.

Dans la sphère publique, la mise à l’écart des jeunes femmes ou des jeunes hommes qui n’agissent pas selon les rôles traditionnels de genre est un exemple courant de cette violence.

Cette mise à l’écart est généralement pratiquée par les groupes de pairs, mais des adultes responsables, comme les enseignant.e.s et les coach sportifs, peuvent parfois s’en rendre coupables. En gros, cela consiste à exclure la victime de certaines activités de groupe. L’intimidation, comme dans la sphère privée, peut également être utilisée.