Les catastrophes naturelles et technologiques peuvent affecter de manière disproportionnée les groupes vulnérables (par exemple les migrants, les demandeurs d'asile, les réfugiés, les personnes déplacées, les personnes handicapées, les enfants) qui vivent, travaillent, étudient, voyagent ou transitent dans le pays en crise. Ils sont plus vulnérables en cas de catastrophe en raison de leur accès limité à l'information, du fait qu'ils ne maîtrisent pas la langue de l'État où ils sont déplacés et qu'ils ne sont pas conscients des risques. L'un des objectifs de cet atelier est de déterminer comment mieux inclure les groupes vulnérables dans les politiques et stratégies de réduction des risques de catastrophe.

L'atelier est organisé conjointement par le ministère des Situations d'urgence de la République d'Azerbaïdjan et l'Accord EUR-OPA sur les risques majeurs.
Les participants comprenaient des parties prenantes locales et des ONG, l'OIM, l'UNICEF, des universitaires ainsi que des experts internationaux.  Il s'appuie sur l'attention internationale croissante accordée aux questions liées à la mobilité humaine, à la protection des droits de l'homme et à l'environnement. Le Cadre de Sendai 2015 pour la réduction des risques de catastrophe (SFDRR) a explicitement appelé à l'inclusion des migrants dans la RRC des politiques et pratiques de leurs pays et communautés hôtes.

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