Les étudiants, les chercheurs et les enseignants, comme la plupart des Européens, utilisent quotidiennement des outils technologiques et des médias numériques. Eviter l’utilisation des téléphones mobiles, tablettes, ordinateurs portables, consoles de jeux et autres technologies est devenu presque impossible, que ce soit à des fins éducatives, professionnelles ou de divertissement.
En novembre dernier, le Conseil de l’Europe a publié une étude intitulée Artificial Intelligence and Education, a critical view through the lens of human rights, democracy and the rule of law.
Avec l’avènement de ChatGPT, on a senti que quelque chose de très important se produisait et que nos vies ne seraient plus jamais les mêmes. Bien qu’il soit généralement souligné que l’intelligence artificielle (IA) apporte à la fois des défis et des opportunités, il semble qu’au cours des dernières semaines, l’équilibre soit résolument passé du côté des préoccupations, signalant un haut niveau de responsabilité pour ceux qui travaillent avec l’IA. De plus, comme l’indique le rapport du Conseil de l’Europe, « l’éthique de l’IA est nécessaire mais pas suffisante pour l’IA dans l’éducation ».
La session EduTalks@Conseil de l’Europe sur l’intelligence artificielle et l’intégrité académique qui s’est tenue le 26 avril 2023 a abordé la question d’un point de vue éthique.
Programme de la session EduTalks@Conseil de l’Europe sur l’intelligence artificielle et l’intégrité académique
