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Travailler au Conseil de l’Europe vous intéresse ? Découvrez nos vidéos ci-dessous et écoutez quelques collègues vous parler de leur travail ici.
Sonmez - Juriste, Cour européenne des Droits de l'Homme
(Vidéo en français - voir ci-dessous pour la transcription)
Sonmez - cliquez ici pour la transcription
« Je travaille au Conseil de l’Europe depuis 2002. Je suis arrivé à la cour en 2002 et depuis cette date je travaille ici en tant que juriste dans l’une des divisions turques. Le matin au travail, je suis plutôt heureux, parce qu’il n’y a pas un seul ou je me suis dit “zut il faut que j’aille travailler”. C’est peut-être dû à l’ambiance au travail et au cadre de travail. J’ai un réel plaisir à me retrouver ici avec mes collègues. J’ai ici rencontré des personnes qui m’ont eux enrichi par leurs connaissances, par leur culture et surtout par leurs différences. On apprend beaucoup des choses qui sont différentes. Ce qu’il me satisfait au quotidien dans mon travail, c’est deux choses : c’est d’une part de contribuer, à mon échelle, tout en restant modeste, à l’amélioration de la protection des droits de l’Homme dans les pays européens et en Turquie notamment. Et deuxièmement c’est une satisfaction à l’échelle des requérants parce que j’ai le sentiment d’avoir rendu justice. »
Elena - Assistante administrative, Groupe Pompidou
(Vidéo en anglais - voir ci-dessous pour la traduction)
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« Cela fait dix ans que je travaille pour le Conseil de l’Europe. J’ai d’abord été affectée à la Direction des affaires juridiques. Depuis un an je travaille au Groupe Pompidou, un accord partiel pour combattre l’abus et le trafic de drogue. J’y suis avant tout assistante CCM. Je m’occupe du budget du Groupe Pompidou, le budget ordinaire et les contributions volontaires. Je suis aussi la personne de contact pour les Etats - membres du Groupe, pour les représentants spécialement désignés. J’organise leurs réunions plénières et les conférences ministérielles. Je pense que le fait de travailler au Conseil de l’Europe m’a rendue plus tolérante envers les autres. En particulier envers ceux qui sont différents de moi. Je le pense vraiment. Ce qui m’a attirée le plus, c’est le caractère international du Conseil de l’Europe, le fait de pouvoir y parler toutes les langues que je maîtrise et d’avoir un meilleur aperçu de l’Europe. Bien que je sois née en Russie, le fait de vivre à l’étranger m’a fait perdre en quelque sorte mon identité nationale. C’est pourquoi, je me sens plus européenne que jamais et il n’y a pas de meilleur endroit où travailler ».
Leyla - Chef de l’Unité de soutien aux programmes conjoints
(Vidéo en français - voir ci-dessous pour la transcription)
Leyla - cliquez ici pour la transcription
« Je travaille au Conseil de l’Europe depuis septembre 2002. J’étais la première citoyenne Azerbaidjanaise à entrer dans le Conseil. Je travaille dans le domaine des programmes conjoints avec l’Union Européenne. Nous apportons des solutions aux services opérationnels dès qu’ils ont des questionnements, problèmes particuliers. Donc cet aspect-là est également très intéressant et très gratifiant. Ce qui me fascine c’est notamment l’exploration des aspects contractuels, l’exploration de la pratique contractuelle de l’Union. C’est quelque chose de très stimulant intellectuellement, c’est quelque chose de très gratifiant aussi parce que vous arrivez à apporter des solutions aux services opérationnels. Une autre satisfaction que je puise en permanence c’est justement quand j’arrive à aider les collègues, c’est quelque chose qui me parle. J’aime bien aider. J’ai pu travailler avec un grand nombre de gens brillants, dévoués. Le Conseil m’a permis de développer un aspect de ma personnalité qui est un profil expert et donc en fait le Conseil est pour beaucoup dans ce que je suis. »
Gunnar - cliquez ici pour la traduction en français
Albina - Conseillère politique
(Vidéo en anglais - voir ci-dessous pour la traduction)
Albina - cliquez ici pour la traduction en français
« Je suis entrée au Conseil de l’Europe en 2002. Cela fait donc plus d’une dizaine d’années que je m’y trouve. J'estime que je suis liée à quatre pays : Moldova, l’Ukraine, le Belarus et la Russie. Je travaille sur les questions de conseil politique en tant que tel et sur les mesures de confiance. Les mesures de confiance, cela consiste à jeter des ponts, à établir des relations de confiance entre les peuples après un conflit. Je suis particulièrement fière de notre Organisation lorsque je parcours l’Europe. Je rencontre des gens qui savent ce que nous faisons et comment nous nous y prenons et qui sont pleins de reconnaissance pour le travail réalisé par le Conseil de l’Europe. Le plus motivant, bien que cela semble idéaliste pour certains, c’est de faire exister une Europe pacifique dans notre vie quotidienne, de bâtir la paix en Europe et de mieux faire se comprendre des gens ayant une culture politique différente. Personnellement, j’ai toujours voulu travailler au sein d’une organisation internationale. C’était un rêve d’enfant et j’ai le sentiment de m’épanouir personnellement en travaillant pour le Conseil de l’Europe ».
Isild - Adjointe au Chef du Cabinet du Président de l'Assemblée parlementaire
(Vidéo en français - voir ci-dessous pour la transcription)
Isild - cliquez ici pour la transcription
« J’ai commencé au Conseil de l’Europe en 2004 fraichement sortie de l’université. J’avais postulé pour un stage, et j’ai eu la chance d’être prise. J’étais très enthousiaste de venir, de voir un peu ce qu’il se passe au Conseil de l’Europe. Je suis française, pas ce qu’il y a de plus exotique au Conseil de l’Europe. Je travaille au secrétariat de l’assemblée parlementaire depuis 2005. Au quotidien nous assistons la présidente dans ses différentes fonctions. Ce qui rend le travail sans doute le plus pétillant, les jours ou il est vraiment pétillant c’est les imprévus je pense. C’est de devoir réagir vite et d’être là pour pouvoir répondre à une demande qu’on n’attendait pas du tout. Evidemment une des taches les plus intéressantes ce sont les missions, la partie sur place dans les états membres. Il y a évidemment cette richesse multiculturelle qu’on vit au quotidien et qui est un plaisir. On apprend tous les jours quelque chose de nouveau et c’est vrai que c’est quelque chose qui nous marque et qui nous façonne aussi. »