Glossaire
Glossaire : liste alphabétique de termes d’un domaine particulier accompagnés de leur définition. Vous trouverez ci-dessous la définition des termes spécifiques employés dans le cadre du projet Enter!.
Note : les termes comportant le signe * sont extraits du glossaire de la Recommandation Enter!.
Apprentissage tout au long de la vie
Toute activité d’apprentissage entreprise au cours de la vie et donnant lieu à une amélioration des connaissances, des savoir-faire, des aptitudes, des compétences et/ou des qualifications sur le plan personnel, social ou professionnel.
Citoyenneté active*
Capacité de participer de manière réfléchie et responsable à la vie politique, économique, sociale et culturelle. Les jeunes apprennent ce qu’est la citoyenneté active en s’initiant aux concepts et valeurs qui sous-tendent la citoyenneté dans une démocratie (le plus souvent par l’éducation, qu’elle soit formelle ou informelle), en étant des membres actifs et responsables de leur communauté (à travers les activités de la société civile) et, une fois qu’ils ont atteint l’âge adéquat, en exerçant les droits et responsabilités de tout citoyen dans une démocratie (c’est-à-dire en votant, en se présentant à une élection, etc.). Il s’agit à la fois d’un droit humain et d’une responsabilité. Les jeunes rencontrant des obstacles pour accéder aux droits sociaux sont également plus susceptibles de se heurter à des difficultés dans l’exercice d’une citoyenneté active et d’une participation responsable à la vie de la société.
Cogestion*
Le système de cogestion du Conseil de l’Europe associe les pouvoirs publics (représentants gouvernementaux chargés de la jeunesse) et la société civile (représentants d’organisations non gouvernementales et de réseaux de jeunesse). Ce modèle de partenariat est en vigueur depuis les années 1960. Les partenaires du système de cogestion décident ensemble, sur un pied d’égalité, des politiques et programmes du secteur jeunesse du Conseil de l’Europe, et en déterminent le financement.
Cohésion sociale
Capacité d’une société à assurer le bien-être de tous ses membres, en minimisant les disparités et en évitant la polarisation. Une société cohésive est une communauté solidaire, composée d’individus libres poursuivant des buts communs par des moyens démocratiques. La cohésion sociale n’est pas seulement une affaire de lutte contre l’exclusion sociale et la pauvreté : elle consiste également à créer, au sein de la société, une solidarité qui réduise au minimum l’exclusion (voir la Stratégie de cohésion sociale révisée du Conseil de l’Europe, 2004).
Conception universelle
Vaste éventail d’idées destinées à ce que les bâtiments, produits et environnements soient intrinsèquement accessibles à tous : personnes âgées, personnes handicapées et personnes non handicapées.
Consultation
Fait d’inviter les communautés, les particuliers et d’autres parties prenantes à donner leur avis sur les politiques et les décisions ayant un impact sur leur vie quotidienne.
Coopération
Fait de travailler ou d’agir ensemble en vue d’un objectif commun et pour le bénéfice de l’ensemble de la communauté.
Crime de haine
Crime commis pour des raisons d’hostilité ou de préjugés à l’égard d’une personne au motif de son handicap, de son origine ethnique ou raciale, de sa religion ou croyance, de son orientation sexuelle ou de son identité transgenre. Il peut être perpétré contre une personne ou un bien. On peut en être victime sans faire partie du groupe visé par cette hostilité.
Désavantage (social)*
Défaut d’accès aux outils nécessaires à chacun pour mener une vie autonome et stable. Dans le cadre du projet Enter!, le désavantage est vu comme le processus par lequel certains groupes de jeunes ou autres personnes se voient systématiquement nier (que ce soit intentionnellement ou par négligence) la possibilité et/ou les moyens d’exercer pleinement leurs droits sociaux (tels que définis par la Charte sociale européenne révisée), ce qui représente une violation de leurs droits fondamentaux. L’expérience du désavantage peut inclure le manque d’indépendance, d’incitation, de responsabilité, de respect de soi et de la part d’autrui, de santé, d’éducation, d’information, d’emploi, d’aide financière suffisante, de capital social, culturel et financier adéquat, de systèmes d’assistance réactifs et de participation.
Discours de haine
Toutes les formes d’expression qui propagent, incitent à, promeuvent ou justifient la haine raciale, la xénophobie, l’antisémitisme ou d’autres formes de haine fondées sur l’intolérance, y compris l’intolérance qui s’exprime sous forme de nationalisme agressif et d’ethnocentrisme, de discrimination et d’hostilité à l’encontre des minorités, des immigrés et des personnes issues de l’immigration (définition tirée de la Recommandation R (97) 20 du Comité des Ministres aux États membres relative au discours de haine).
Discrimination*
Sous toutes ses formes et expressions possibles, c’est l’une des violations des droits de l’homme les plus répandues. Bien qu’elle touche quotidiennement des millions d’individus, la discrimination reste particulièrement difficile à identifier. Il y a discrimination lorsque des personnes subissent un traitement moins favorable que d’autres dans une situation comparable, au seul motif qu’elles appartiennent ou sont jugées appartenir à un certain groupe ou à une certaine catégorie. On peut subir une discrimination pour différents motifs : âge, handicap, ethnie, origines, convictions politiques, couleur de peau, religion, sexe ou genre, orientation sexuelle, langue, culture, etc. La discrimination a des conséquences directes sur les personnes et groupes qui en sont victimes, mais également des répercussions indirectes et tout aussi graves sur la société dans son ensemble. Une société qui autorise ou tolère la discrimination est une société dans laquelle les individus sont privés du droit de faire valoir librement leur plein potentiel, pour eux-mêmes et pour la société.
Droits de l’homme
Tout au long de l’histoire, les sociétés ont créé des systèmes visant à assurer la cohésion sociale en codifiant les droits et les responsabilités de leurs citoyens. En 1948, la communauté internationale s’est réunie pour adopter un texte qui aurait force obligatoire pour tous les États : la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH). D’autres documents relatifs aux droits de l’homme ont été adoptés depuis, comme la Convention européenne des droits de l’homme en 1950 et la Convention relative aux droits de l’enfant en 1990.
Les droits de l’homme reflètent les besoins humains fondamentaux ; ils instaurent les normes de base sans lesquelles les êtres humains ne pourraient vivre dans la dignité. Ils reposent sur les concepts d’égalité, de dignité, de respect, de liberté et de justice.
Ces droits englobent, par exemple, l’interdiction de la discrimination, le droit à la vie, la liberté d’expression, le droit de se marier et de fonder une famille ou encore le droit à l’éducation.
Chacun jouit des droits de l’homme de façon égale, universelle et pérenne. Les droits de l’homme sont universels : ils sont les mêmes pour tous les êtres humains, dans chaque pays. Ils sont inaliénables, indivisibles et interdépendants ; autrement dit, ils ne peuvent être enlevés à quiconque, ils ont tous la même importance et ils sont complémentaires. De la liberté d’expression dépend, par exemple, le droit de prendre part à des élections libres et à la direction des affaires publiques de son pays.
Droits sociaux*
Droits garantis par la Charte sociale européenne (CSE) et par le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC). La Charte est un traité du Conseil de l’Europe, adopté en 1961 et révisé en 1996, qui garantit des droits sociaux et économiques. Elle confère des droits dans les domaines du logement, de la santé, de l’éducation, de l’emploi, de la protection juridique et sociale, de la libre circulation et de la non-discrimination. Le PIDESC, l’un des principaux traités de l’ONU en matière de droits de l’homme, a été adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1966. Il confère des droits dans les domaines du travail, de la sécurité sociale, de l’alimentation, de l’habillement et du logement, de la santé et de l’éducation.
Éducation de la deuxième chance
Filière permettant de compléter un programme, un diplôme ou une qualification d’équivalence d’enseignement supérieur ; elle s’adresse généralement aux jeunes qui sont sortis du cursus scolaire ou universitaire traditionnel ou ne l’ont pas suivi du tout.
Éducation informelle*
Processus par lequel chaque individu acquiert, tout au long de sa vie, des attitudes, des valeurs, des compétences et des connaissances grâce à son expérience quotidienne (famille, pairs, voisins, rencontres, bibliothèques, médias, travail, loisirs, etc.). Contrairement à l’éducation formelle et non formelle, l’éducation informelle n’est en général ni méthodique, ni organisée. Bien qu’elle n’aboutisse en général à aucun diplôme, elle constitue la plus grande part de l’apprentissage d’une personne tout au long de sa vie.
Éducation non formelle*
Notion aussi employée que débattue dans le secteur de la jeunesse, l’éducation non formelle englobe tous les programmes éducatifs planifiés visant à améliorer un ensemble d’aptitudes et de compétences en dehors du cadre d’enseignement formel. Elle englobe une série de principes fondamentaux d’apprentissage, de méthodologies et d’approches dans le secteur de la jeunesse et, généralement, met l’accent sur la motivation intrinsèque de l’apprenant, la participation volontaire, l’esprit critique et l’action démocratique. Dans son glossaire, le Centre européen de ressources sur les politiques de jeunesse décrit l’éducation non formelle ainsi : « Ces environnements et situations peuvent être intermittents ou transitoires, et les activités ou les cours peuvent être dispensés par des facilitateurs d’apprentissage professionnels (formateurs de jeunesse, par exemple) ou par des bénévoles (responsables de jeunesse, par exemple). Les activités et les cours sont planifiés, mais rarement structurés selon des rythmes ou des programmes conventionnels. En général, ils s’adressent à des groupes cibles spécifiques, et il est rare qu’ils documentent ou évaluent les résultats de l’apprentissage de manière visible et conventionnelle ».
Exclusion sociale
Incapacité de la société à assurer à certains individus et/ou groupes les droits et les avantages normalement dus à ses membres (emploi, logement adéquat, soins de santé, éducation et formation, etc.).
Identité de genre
Expérience intime de soi comme masculin, féminine ou transgenre. Si l’identité de genre ne correspond pas au sexe biologique, la personne peut s’identifier comme transsexuelle ou comme appartenant à une autre catégorie transgenre.
Inclusion sociale
Processus consistant à améliorer, pour les individus et les groupes, les conditions d’accès aux droits et aux avantages normalement dus aux membres de la société (emploi, logement adéquat, soins de santé, éducation et formation, etc.).
Jeunes défavorisés*
Les jeunes vivant dans des quartiers défavorisés (voir définition ci-dessus) subissent des formes diverses et multiples de désavantages (sociaux) (voir définition ci-dessus), qui peuvent être le défaut de capital et/ou de ressources économiques, culturels et sociaux, la difficulté d’accès aux études ou l’échec scolaire, l’absence de formation ou d’emploi et de perspectives d’avenir, un risque accru de se retrouver à la rue, des démêlés avec la justice, l’exploitation et/ou les violences sexuelles, la toxicomanie, etc. En outre, des jeunes de certaines catégories – élevés dans des familles d’accueil ou sans leur famille, issus de l’immigration ou de minorités ethniques, Roms, handicapés, souffrant de troubles mentaux, vivant avec la maladie ou dans des communautés isolées ou faisant l’objet de ségrégation – peuvent devenir des jeunes défavorisés ; ils sont davantage susceptibles de souffrir d’un désavantage social que d’autres. Les jeunes défavorisés comptent parmi les populations les plus marginalisées de la société et ont besoin de bénéficier de mesures de soutien particulières pour se voir offrir les mêmes possibilités que leurs pairs.
Mobilité
Capacité des jeunes à se déplacer d’un endroit à un autre au sein de leur pays ou à l’étranger, pour l’une ou l’autre des raisons suivantes : développement personnel, autonomie, volontariat ou travail de jeunesse, éducation, formation spécialisée, objectifs professionnels, possibilités de logement et activités de loisir.
Orientation professionnelle
Aide apportée aux personnes qui souhaitent choisir une carrière/profession ou prendre des décisions en matière d’emploi ou de formation.
Orientation sexuelle
Sexe des personnes pour lesquelles on éprouve une attirance sexuelle ou amoureuse. L’orientation sexuelle se divise généralement selon ces catégories : attirance pour les membres de son propre sexe (homosexuel(le)s), attirance pour les membres de l’autre sexe (hétérosexuel(le)s) et attirance pour les membres des deux sexes (bisexuel(le)s). Bien que ces catégories soient largement employées, les recherches indiquent que l’orientation sexuelle n’apparaît pas toujours de manière aussi nette, mais plutôt selon un continuum.
Politique de jeunesse*
Stratégie mise en œuvre par les pouvoirs publics dans l’objectif d’offrir aux jeunes des opportunités et des expériences susceptibles d’accroître leurs chances d’une intégration réussie dans la société et de leur permettre de devenir des membres actifs et responsables de la société, ainsi que des acteurs du changement. Elle comporte quatre dimensions couvrant tous les aspects de la vie des jeunes :
- être en forme (physiquement et mentalement) ;
- apprendre (de façon informelle, non formelle et formelle) ;
- participer ;
- s’intégrer.
La politique de jeunesse peut combiner différents moyens d’intervention (législation, programmes spécifiques, etc.) et intègre une approche éducative dans une perspective à long terme. Elle cible tous les jeunes, mais se doit d’accorder une attention particulière aux jeunes vulnérables sur le plan social, économique ou culturel.
Pouvoirs locaux et régionaux
Représentants locaux et régionaux, élus dans le cadre de plébiscites libres et démocratiques, responsables de décisions concernant les aspects de la vie citoyenne dévolus par les gouvernements nationaux et les structures de l’administration publique qui mettent en œuvre les décisions des représentants élus.
Préjugé
Conviction, opinion ou jugement injuste et déraisonnable à propos d’une personne ou d’un groupe, qui n’est fondé ni sur la raison, ni sur la connaissance ou l’expérience de cette personne ou de ce groupe.
Programmes d’enseignement et de formation professionnels
Enseignement et formation visant à apporter aux personnes les connaissances, savoir-faire, aptitudes et/ou compétences nécessaires pour occuper certains emplois ou, plus généralement, pour être actives sur le marché du travail.
Quartiers défavorisés*
Lieux ou communautés dont les habitants, y compris les jeunes, subissent la pauvreté, des privations, la violence, l’exclusion et la marginalisation, l’absence d’opportunités, de mauvaises conditions de vie, un environnement dégradé et une plus grande vulnérabilité que la majorité de la population. De plus, les quartiers défavorisés manquent d’infrastructures et de services importants pour les jeunes, ce qui peut affecter leurs chances et leur développement futur. Ces infrastructures et services comprennent, entre autres, des centres de jeunesse, des écoles et autres structures éducatives, des infrastructures sportives et culturelles, des espaces publics de réunion, des centres de santé, des agences pour l’emploi et des établissements de formation, ainsi que des entreprises et des initiatives portées par les habitants.
Ces quartiers sont souvent oubliés ou privés de financements par les pouvoirs publics aux niveaux national, régional et local, et par le secteur privé. De plus, ils sont souvent éloignés des agglomérations et ne disposent pas de systèmes de transports adaptés, ce qui mène à l’isolement et à la ségrégation. Dans la Recommandation, l’expression « quartiers défavorisés » se réfère essentiellement aux zones urbaines, mais également aux zones rurales où sont installées des communautés Roms vivant généralement dans des conditions précaires.
Roms et Gens du voyage
Termes utilisés au Conseil de l’Europe pour englober la grande diversité des groupes concernés par les travaux du Conseil de l’Europe dans ce domaine : d’une part, a) les Roms, les Sintés/Manouches, les Calés/Gitans, les Kaalés, les Romanichels, les Béash/Rudars ; b) les Égyptiens des Balkans (Égyptiens et Ashkali) ; c) les branches orientales (Doms, Loms et Abdal) ; d’autre part, les groupes tels que les Travellers, les Yéniches et les personnes que l’on désigne par le terme administratif de « Gens du voyage » ainsi que celles qui s’auto-identifient comme Tsiganes.
Sensible au genre
Qui a conscience des facteurs socioculturels sous-jacents à la discrimination fondée sur le genre, et tient compte de ces facteurs. La sensibilité au genre englobe la capacité à reconnaître et à mettre en lumière les différences, les problèmes et les inégalités de genre existants, et à les intégrer dans des stratégies et des actions.
Sexe
Statut biologique d’une personne, relevant généralement d’une de ces trois catégories : masculin, féminin ou intersexe. Il existe plusieurs indicateurs de sexe biologique, notamment les chromosomes sexuels, les gonades, les organes reproducteurs internes et les organes génitaux externes.
Société démocratique
Société dans laquelle tous les citoyens peuvent, via des moyens valables et effectifs, participer aux processus décisionnels de toute organisation prenant des décisions ou menant des actions qui les concernent, et demander des comptes aux autres citoyens, ainsi qu’aux responsables des décisions et des actions, si ces dernières violent les droits de l’homme ou s’avèrent malhonnêtes, contraires à l’éthique, injustes, secrètes, inefficaces, non représentatives, négligentes ou irresponsables, de sorte que toutes les organisations de cette société soient détenues, contrôlées et impulsées par les citoyens et que tous les individus et organisations assument leurs responsabilités.
Stigmatisation
Processus consistant à traiter quelqu’un ou quelque chose injustement en le désapprouvant.
Systèmes de logements mixtes
Un bien immobilier peut être acquis en pleine propriété ou garanti par une hypothèque, loué à l’autorité locale, à un organisme de logement, à un bailleur social agréé ou à un propriétaire privé, ou faire l’objet d’une convention de copropriété. Les systèmes de logements mixtes fournissent différentes formes de bail dans la même localité. L’objectif est de prévenir l’isolement en créant des quartiers diversifiés et socialement mixtes, où des populations différentes en termes d’âge, d’origine et de statut socio-économique vivent en étroite proximité.
Travail de jeunesse
Vaste éventail d’activités (sociales, culturelles, éducatives, sportives, politiques, etc.) menées avec, par et pour les jeunes par le biais d’un apprentissage non formel et informel. Le travail de jeunesse comporte trois caractéristiques essentielles : 1) les jeunes choisissent de participer ; 2) il a lieu là où les jeunes se trouvent ; 3) il considère que le jeune et le travailleur de jeunesse sont des partenaires dans un processus d’apprentissage. Son intérêt est reconnu dans les Conclusions du Conseil sur l’animation socio-éducative et souligné dans une étude (disponible uniquement en anglais) publiée en 2014.
Travail de jeunesse mobile*
Forme flexible et « de proximité » du travail de jeunesse, appliquée là où se trouvent les jeunes que l’on s’efforce de faire participer, et non dans un endroit centralisé – maison ou agence de jeunesse – où ils seraient tous rassemblés. Le travail de jeunesse mobile revêt diverses formes et inclut le travail de rue, l’aide ou le conseil personnalisés, le travail de groupe et associatif, et se déroule aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur, dans des espaces privés comme publics.
Travailleurs de jeunesse
Personnes bénévoles ou professionnelles impliquées dans un travail ou une action avec et pour les jeunes, dans divers cadres : organisations de jeunesse, services de jeunesse, centres de jeunes, centres de formation pour animateurs de jeunes ou travailleurs sociaux, ou toute autre structure œuvrant dans le domaine de l’éducation non formelle des jeunes.