Alex Taylor est un journaliste européen .Producteur et animateur de radio et de télévision depuis près de 30 ans notamment en France (France Télévisions, France Inter) mais aussi pour des diffuseurs internationaux (Euronews, TV5 Monde, Arte, BBC). Il était directeur de programme pour Radio France Internationale, chargé de la mise en œuvre du format actuel 24h/24. En plus de ses activités journalistiques, il a animé plus de 1500 conférences internationales sur une grande diversité de thématiques, notamment sur les problématiques de l’environnement. Il a écrit aussi un best-seller sur sa passion, les langues étrangères, dont il en parle (plus ou moins) 7. En outre, il a travaillé une fois en tant que dompteur des chameaux dans un cirque.

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Alice Baillat est experte associée au sein de la division Migration, environnement et changement climatique (MECC) de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) à Genève, en Suisse. Elle participe à diverses activités politiques, de recherche, de plaidoyer, de renforcement des capacités et opérationnelles de l'OIM liées aux questions de migration, d'environnement et de changement climatique. Dans le cadre de ses fonctions, elle travaille également en étroite collaboration avec la Plateforme sur le déplacement de personnes en cas de catastrophe (PDD) et le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) afin d'aider les États et les autres parties prenantes à relever les défis de la mobilité humaine dans le contexte des catastrophes, de la dégradation de l'environnement et du changement climatique. Alice Baillat a près de dix ans d'expérience en matière de recherche et d'enseignement de la géopolitique du changement climatique et ses conséquences migratoires. Elle est titulaire d'un doctorat en sciences politiques et relations internationales de Sciences Po Paris. Elle est chercheuse associée à l'Institut français des affaires internationales et stratégiques (IRIS), un groupe de réflexion basé à Paris.

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Monica est avocate, spécialiste en droit international public, au Barreau d'Angleterre et du Pays de Galles. Elle est l’avocate dans l'affaire Torres Strait Islanders, la première affaire mondiale traitant directement du changement climatique, devant le Comité des droits de l'homme des Nations unies. Elle est également l'avocate principale dans l'affaire de la mine de Cerrejon, qui vise à obtenir la fermeture de l'une des plus grandes mines à ciel ouvert du monde, et l'avocate principale dans l'affaire de la marée noire de Montara (l'une des pires catastrophes pétrolières d'Australie). Elle représente actuellement des affaires concernant l'élévation du niveau de la mer, le naufrage d'îles, la dégradation de l'environnement, les marées noires, les dommages transfrontaliers, le changement climatique en tant que question de droits de l'homme, les dommages environnementaux des voies navigables, la protection des rivières, la biodiversité, l'abandon progressif des mines de charbon et l'application de l'accord de Paris devant diverses cours et tribunaux internationaux, et d'autres mécanismes tels que les procédures spéciales des Nations unies et les procédures de l'OCDE. Monica a également conseillé des États souverains sur les recours en matière de changement climatique devant des cours et tribunaux internationaux, en particulier devant le Tribunal international du droit de la mer (TIDM) et la Cour internationale de justice (CIJ). En raison de son travail novateur dans le domaine du contentieux du changement climatique, elle a été citée dans le magazine The Lawyer "Hot 100" l'année dernière, comme l'une des "avocates les plus audacieuses, novatrices et créatives" au Royaume-Uni, et a été finaliste du prix "Barrister of the Year" dans le cadre des Lawyers' Awards 2020. Monica est titulaire d'un LLM (LSE) et du diplôme de l'Académie de La Haye en droit international. Elle est membre associée du Centre de droit international Lauterpacht, Université de Cambridge.

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Tasneem Siddiqui est professeure de sciences politiques à l'université de Dhaka et présidente fondatrice de l'unité de recherche sur les réfugiés et les mouvements migratoires (RMMRU). Ses travaux sur l'adaptation au changement climatique et la migration, les moteurs et l'impact de la migration interne et internationale de la main-d'œuvre, les villes sûres et durables ouvertes aux migrants ont été publiés dans les revues Population and Environment, Development policy review, Urban studies et dans différents volumes de Palgrave Macmillan, Edward Edgar, Routledge, Springer, etc. Elle a dirigé l'élaboration de la stratégie nationale pour les personnes déplacées à l'intérieur du Bangladesh en raison de catastrophes naturelles et du climat, la politique nationale d'emploi à l'étranger, 2006 et a été membre du comité qui a préparé le premier projet de la loi sur l'emploi et la migration à l'étranger de 2013. Elle fait partie du comité de rédaction global de l'Oxford Journal of Migration Studies. Depuis juin 2019, elle a rejoint la Plateforme sur les déplacements de personnes en cas de catastrophe (PDD), dirigée par l'État, en tant que membre du Comité consultatif. Elle est également membre du conseil d'administration de Transparency International, Bangladesh.

Cybèle termine actuellement le Master en droit international à l'Université de Saint-Gall avec une thèse sur les obligations légales des entreprises à la lumière du changement climatique et des violations des droits de l'homme induites par le climat. Elle est intitulée "Prévenir le changement climatique et ses conséquences sur les droits de l'homme" : Existe-t-il une obligation légale positive des entreprises ?"

Auparavant, elle a travaillé à plusieurs reprises au sein et autour du Conseil de l'Europe. Elle a été la déléguée suisse de la jeunesse au Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l'Europe en 2018 et elle a effectué un stage académique à la Représentation permanente de la Suisse auprès du Conseil de l'Europe en 2017.