Retour Confinement COVID-19: les États doivent renforcer la protection des enfants contre l’exploitation et les abus sexuels, déclare le Comité de Lanzarote

Confinement COVID-19: les États doivent renforcer la protection des enfants contre l’exploitation et les abus sexuels, déclare le Comité de Lanzarote

Pour beaucoup trop de filles et de garçons, les mesures strictes de confinement liées au COVID-19 risquent d’entraîner une vulnérabilité accrue à la violence, y compris aux abus et à l’exploitation sexuels. « Alors que de plus en plus de pays appliquent des mesures de confinement, il est tragique de constater que de nombreux enfants, notamment les enfants en situation de vulnérabilité en raison d’un handicap mental ou physique ou d’une situation de dépendance, sont enfermés avec leurs agresseurs, que ce soit à la maison, dans des structures d’accueil extrafamiliales, dans des camps de réfugiés précaires ou dans des lieux où ils sont privés de leur liberté », ont souligné George Nikolaidis et Christel De Craim, Président et Vice-Présidente du Comité de Lanzarote en charge du suivi de la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l’Europe sur la protection des enfants contre l’exploitation et les abus sexuels (Convention de Lanzarote), dans une déclaration publiée le 7 avril 2020. « Les États parties doivent veiller à ce que tous les enfants soient confinés dans un environnement sûr. »

 

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 Source de l'article

9 avril 2020
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