Une étude GLACY+ comparant la Convention de Budapest sur la cybercriminalité et la Convention Malabo de l'Union africaine sur la cybersécurité et la protection des données souligne "la complémentarité des deux traités. Cela signifie construire sur l'engagement politique des dirigeants africains à affronter le défi de la cybercriminalité, tel exprimé lors de l'adoption de la Convention de l'Union africaine, et aider les pays africains à utiliser la Convention de Budapest pour améliorer la législation nationale, établir les capacités nationales en matière de justice pénale et s'engager dans la coopération internationale."
Des représentants de 18 États africains et de la Commission de l'Union africaine ont discuté le suivi lors de la récente conférence Octopus au Conseil de l'Europe à Strasbourg (16-18 novembre 2016).
