Une table ronde sur les deux dernières conventions pénales (la Convention MEDICRIME et la Convention contre le trafic d’organes humains) a été organisée pour débattre des bénéfices apportés et des problèmes posés par la ratification de ces conventions, et pour sensibiliser les autorités judiciaires, répressives et sanitaires concernées.
Elle s’inscrit dans le cadre du programme “Renforcer la réforme démocratique dans les pays du voisinage méridional” (Programme Sud), financé par l’Union européenne et mis en œuvre par le Conseil de l’Europe.