Retour La Secrétaire Générale adjointe inaugure la session annuelle René Cassin

Gabriella Battaini-Dragoni

Gabriella Battaini-Dragoni

« Il est capital de bien comprendre que prévenir les conflits, c’est aller bien plus loin que de retenir des belligérants. Il faut pour cela s’attaquer aux racines du conflit – pouvoir autoritaire, discrimination, inégalités, intolérance. Il importe aussi de renforcer les institutions de gouvernance démocratique et de prééminence du droit, qui peuvent faire respecter les droits de l’homme pour tous », a souligné Gabriella Battaini-Dragoni, lors de l’ouverture de la 47e session annuelle d’étude, consacrée aux conflits armés et au droit international lié aux droits de l’homme et organisée par la Fondation René Cassin à Strasbourg.

La Secrétaire Générale adjointe a insisté sur l’importance du concept de sécurité démocratique, elle s’est arrêtée sur le rôle des droits de l’homme avant et pendant les conflits et pour y mettre fin.

Elle a résumé son intervention en citant Kofi Anan, ex-Secrétaire général des Nations Unies : « Nous ne bénéficierons pas du développement sans sécurité, ni de la sécurité sans développement, ni de l’une ou l’autre sans respect des droits de l’homme ».

Secrétaire Générale adjointe Strasbourg 4 juillet 2016
  • Diminuer la taille du texte
  • Augmenter la taille du texte
  • Imprimer la page